Un joli bivouac juste avant la frontière Italo slovéno autrichienne et derrière une coopérative laitière qui faisait des glaces à guérir un bataillon d'anorexiques ,crémeuses et parfumées à souhait !Nous renonçons à la Slovénie car la politique covid était assez floue . Barre à bâbord et bonjour l'Autriche.

Il est toujours rigolo de voir qu'un trait sur la carte change autant de choses : on parle autrement, la culture change et même les vêtements sont différents. Les culottes en cuir et à bretelles sont assez courantes ici.

Çà me rappelle un copain Autrichien à l'école primaire dont les parents avaient émigré et qui vivaient dans une misère noire. On se foutait de lui et de sa culotte en cuir qu'il portait hiver comme été . On est con quand on est jeune et que l'on imagine pas ce désarroi. Quand on grandit, çà change... ou pas . Les Autrichiens aujourd'hui refoulent leurs migrants . Que l'homme a la mémoire courte ! Par monts et vallées nous serpentons dans une campagne où chaque champ ressemble à un golf et chaque village à un musée, çà respire le propre et le luxe . Puis nous atteignons Salzbourg, , très belle ville où tout est à l'effigie de Wolfgang . Amadeus aura laissé une grande oeuvre

et enrichi un beau patrimoine .

L'Autriche n'est pas bien grande et l'Allemagne nous attend ...